" Pour toi je me couperais les veines, avec mon sang je t'écrirais je t'aime. " MCCOY PRENOM PRENOM
NOM ϟ McCoy ♦ PRENOMS ϟ prénoms au choix ♦ SURNOM(S) ϟ McConnerie, McConne (il n'y a que Knox qui ait l'droit de l'appeler ainsi) ♦ ÂGE ϟ 22 ans ♦ DATE DE NAISSANCE ϟ au choix ♦ LIEU DE NAISSANCE ϟ Sydney NATIONALITE ϟ Australienne ♦ ORIGINE(S) ϟ au choix ♦ GROUPE ϟ THE LOCALS. AVATAR ϟ Emmy Rossum ( en mode shameless, uniquement). Cet avatar est moyennement négociable ♦
LE PERSONNAGE
CARACTERE ϟ « Va te faire foutre, Abberdeen. Tu trouveras bien un ch'val ou un âne pour t'entuber, c'ton truc, non ?». Vulgaire, grossière : la politesse, allez la chercher ailleurs. Vous ça vous choque, moi : j'aime. J'dois être dérangé. Plus elle m'insulte, plus...damn, j'ai envie de l'embrasser. « Tu sais c'quoi ton problème, knock ? Il faut que tu t'fasses pousser des couilles. Tu fais l'coq sur la plage, tu dragues : t'es pas réglo, j'veux pas être avec un chaud lapin. Les coureurs de jupons, j'en veux pas, j'en veux pas ...» fidèle, loyale, généreuse. Combien d'fois, on s'est pris la tête pour une histoire de fille, combien d'fois ? A 100, j'ai arrêté d'compter. « Abberdeen, c'est la dernière fois, j'te préviens, c'est la dernière fois, la der des ders ! » , poseuse d'ultimatum, elle rabache, elle emmerde, elle fait chier, elle est lourde. Y'a que mes épaules, pour la supporter. Elle s'en rendra compte. « T'appelle à 4 heures du mat', tu t'es cru où ? T'pense que j'vais rappliquer ? Mes frangins dorment, j'dois leur faire l'petit dej' ! »« Il est quelle heure ?» un sourire malicieux étire mes lèvres, elle baisse le regard : « 4 heures 15 ». Elle est devant ma porte, en pyjama. On est comme ça. On est comme ça. « LA FERME » colérique, dynamique : elle pense toujours avoir raison. Avec les autres c'est Fière, avec moi c'est : « Je te pardonnerai tout, tout sauf...»« Sauf ? »« Ta gueule ».
A PROPOS D'ELLE ϟ Son histoire est laissée à votre imagination, j'veux que vous ayez le plus de liberté, respectez seulement de quelques points : - Est issus d'une famille nombreuse. - Ne se drogue pas. S'faire belle : c'pas son truc. Un brin tomboy. - Tatouée , somewhere un Knock on my door , jamais elle n'avouera qu'il fait allusion à Knox dont le surnom est Knock.
Le reste : FREE time, enjoy.
RELATIONS
AVEC KNOX ABBERDEEN ϟ Avant de trouver ton prince charmant, tu auras à embrasser une tonne de grenouilles. J'suis une grenouille, va-y pauv' conne : roule-moi une pelle.
He said I'm the devil boy So come with me and we'll make many storms. He offered me the universe But inside my heart there's a picture of a girl.
Il y a une éternité, on dirait.
A cette époque, j'enchainais les jobs (c'que j'fais toujours). A cette époque, c'était la loose ( ça l'est toujours). A cette époque, j'longeais les côtes - accompagné de ma nièce -en criant : " Beignets, Beignets" ( j'le fais toujours). A cette époque, bordel de merde, je l'ai rencontré, elle et ça big grosse famille. Elle et son franc parlé chatreur, elle et sa manie adorablement énervante d'agresser les gens, sur le coup, elle ne me parut pas si adorable c'est v'nu après, c'est v'nu après : « On n'en veut pas d'tes beignets au goût d'carton. Tu veux que j'te dise ? Tu saoule toute la plage en hurlant " beignets", mec . Tu m'as filé un mal d'crâne. Dégage, sérieux. Il suffirait que j'traverse la route pour avoir un truc bon pour la moitié du prix exhorbitant que t'en demande, de ton beignet goût béton ». J'étais resté interdit, WTF ? C'était qui cette chieuse malpolie qui griffait sans raison apparante ? Osef, j'avais sorti les crocs, je lui aurais bien décoché une droite si l'un de mes principes n'était pas : " pas frapper femelle". Je m'étais approché d'elle pour murmurer ( loin des oreilles innocentes ) : « Petite conne, t'as d'la chance d'être avec ta famille parce que...tu veux que je te dise ? L'beignet goût béton, je te le foutrais bien ailleurs. Fais gaffe à ne pas trop t'éloigner de tes frangins, on n'sait pas ce qui peut arriver ». La parole fut accompagnée d'un bon majeur suivie d'un coup d'beignet en pleine figure : « tiens, cadeau». Maintenant que j'pense à comment ça s'est fini, ça m'fait sourire.
On s'fiche de comment ça s'est produit, on s'fiche de savoir pourquoi , ni même quand. On s'fiche de ce qui nous a poussé l'un vers l'autre. Cette relation, elle est bancale, cette relation : elle est pourrie jusqu'à la moelle. Cette relation : elle nous crève et même si on l'sait, y'en aurait pas un pour l'avouer. On s'fait du mal, on s'fait du bien : c'est dans le mal, qu'on puise not' bien. C'est comme ça que l'on fonctionne. On/Off. On/Off. On/Off. Nous nous prenions la tête pour un rien , dans le " rien" y'avait de quoi se prendre la tête. Le petit motif pour envoyer l'autre bouler était d'jà bon à prendre, shit. On était dans la merde, enlisé comme des couillons. Amoureux ? Ca s'voyait, ça s'voyait. Je ne voulais que la protéger, elle : m'étouffer. Toi + moi = Fuck les autres. Toi + moi = C'tout ? Nan, nan. Possessive, elle, jaloux : moi. C'était perdu d'avance, bataille sans queue ni tête. Bataille sans armement. Bataille à mains nues. « Va voir ailleurs si j'y suis, McConne. Reviens quand tu seras calmée, j'veux pas t'voir avant ! ». Ses mains venaient alors tirer sur ma chevelure, griffer mon cou, les mots affutés : poignards d'un aut' genre, glisser sur ses lèvres : « Elle s'appelait comment ? COMMENT ? T'vois, Géraden, t'as pas l'cran de dire je t'aime, t'as pas assez d'cran pour dire " stop, j'arrête ". Mais moi, si ». Je le regardais alors, défiant : « Si tu oses... Fais bien attention aux mots que tu vas utiliser, McCoy. Mesure bien le poids de tes paroles parce que... ». « Parce que , hein ? QUOI ? ». Ses yeux embués dardaient sur moi tels des éclairs. Fêlin je me ruais sur elle, attrapant ses joues, serrant si fort : « Juste, ta gueule». Mes lèvres capturaient les siennes, ses mains venaient annexer ma nuque. Frappés, barges, c'est ce que l'on est...ce qu'on était.
Ce qu'on était jusqu'à ce que ses parents s'en mêlent, jusqu'à ce que ses parents l'envoient ailleurs jouer les filles au pairs, jusqu'à ce qu'elle revienne au bras d'un autre : TROIS MOIS à peine après. Jusqu'à ce qu'elle m'brise le coeur. Jusqu'à ce qu'elle débarque sous mon perron tout sourire, comme une fleur. Hey, y'a pas marqué : bouffon.
VOS ATTENTES
Je n'attends pas une Shakespeare ni même une Wilde. J'aime beaucoup l'humour comme les gens qui écrivent à la première personne. TOUT tant que les erreurs ne sont pas récurrentes. Je dirai : une conjugaison pas forcément irréprochable mais pas de fautes ÉNORMES comme un tu veut au lieu d'un tu veux ? Une présence correcte. Au moins une réponse par semaine hors période d'exam'. Que dire d'autre : ce personnage est important donc j'vais surement masser celle qui prendra l'rôle. Blague à part : j'ai marqué avatar négociable mais je tiens à Rossum. Evidemment, je ne suis pas chieuse, proposez des avatars mais j'ai un droit de veto. Évitez seulement les nanas trop " propres sur elles" comme Disney Star ou mannequin trop angélique. Je préfère les brunes mais si vous likez les blondes, easy. Don't be shy, je ne mange pas. Et puis, qui déteste les massages ?
C'est la première fois que je tente un scénario aussi rapidement, mais gros coup de cœur. J'espère que le pseudo te va, et je te MP dans le début d'après midi pour quelques questions, tout ça, tout ça. D'ailleurs, s'il y a possibilité de réservation, je dois t'avouer que ça m'arrangerait.